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Nous avons grandement besoin de vampires de sang-froid et de vampires ancestraux (ces derniers issus des postes vacants) !

Il est désormais interdit de faire un vampire ancestral non issu des postes vacants,
car ça n'est pas réaliste, il y a bien plus de vampires de sang-froid que de vampires ancestraux !
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Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."

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Léandre Reilly-Fairchild
Léandre Reilly-Fairchild


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Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  Vide
MessageSujet: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyMer 4 Aoû - 21:20

NEPHILIM  • NOM DU PERSONNAGE Léandre Louis François Reilly-Fairchild.
Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  Bathory
DATE DE NAISSANCE Ving-quatre Octobre de l'année Mille-neuf cent quatre-vingt sept.

LIEU DE NAISSANCE Reims, France.

ÂGE Vingt ans.

ORIGINE Né de deux parents américains en France il est actuellement citoyen des Etats-Unis d'Amérique mais est en droit de demander la nationalité française, ou du moins la double nationalité.

RÔLE Aucun.

POUVOIRS ? Aucun.

I WANT MORE BLOOD • QUESTIONS TECHNIQUES
TRAIT DE CARACTÈRE « C'est un fanatique … J'ai dis que Dieu était une merde et il m'a pété le nez ce con ! » ; « Léandre ? C'est un amant doux et tendre … Mais un mec glacial, déprimant au possible. » ; « Juste un déchet alcoolique de plus. » ; « Un taré avec une grande gueule. » ; « Quand je le vois passé en rentrant de l'école, avec ses écouteurs et ses yeux bizarres il me met mal à l'aise » ; « Il a l'air triste. C'est mauvais un mec triste qui picole … Mais ça rapporte alors je vais pas le foutre dehors, hein ! » ; «  Il entre c'est une loque puis il se ramène pour payer son cd et il rayonne … J'comprend pas c'mec. » ; «  La tête on sait pas trop ou» ; « Il me fout le jetons » ; « Bizarre » ; « S'énerve pour un rien » ; « Toujours calme, impressionnant. » ; « Pas bavard » ; « Marrant quant il veut … En fait il fait surtout grincer des dents. » ; « Jamais vu avec quelqu'un » ; « Jamais la même. » ; « Le seul catho qui pisse dans les bénitiers … » ; « Il a cassé pas mal de verres mais quand je le regarde dans les yeux j'ai pas la force de le priver. Alors je le laisse revenir » ; « Paraît qu'il a un rêve … » ; « Il a insulté mon honneur d'américain je lui ai défoncé la gueule ! » ; « Un salaud ! » ; « Un mec sincère. » ; « Parfois il sonne faux. » ;

CE QUE VOUS PENSEZ DES VAMPIRES ? Les vampires sont des êtres se nourrissant du sang des humains. Fin de l'histoire. Mon rôle est d'empêcher tout débordement et, le cas échéant, de sanctionner ces débordements. Il n'est pas question d'extermination, de sauvegarde de l'humanité en combattant de le mal ou de vengeance. Me venger de quoi d'ailleurs ? Les vampires ne m'ont jamais rien fait de mal … Il faut vraiment être un psychopathe dégénéré pour éprouver du plaisir à tuer et quand je vois le comportement de certains de mes confrères, j'ai l'impression de me retrouver en face du flic devenu flic pour venger son père flic. L'extermination au nom de l'humanité … Grotesque, Dieu est le seul à pouvoir juger et prendre des décisions à de si grande échelles, je me méfie donc plus des nephilim bouffis d'orgueil que des vampires. Ils ont déjà été punis de leurs fautes, inutile de les chasser comme des bêtes. Quant aux vampires de sang-froid, ils ne méritent pas notre haine. Je n'éprouve aucune haine envers eux, en tant que race et mes sentiments à l'égard des individus sont personnels … La vérité, c'est que je les envie d'avoir pu voir tant de chose.

QUE PENSE VOTRE NEPHILIM AU SUJET DE SA VIE ?
J'ai mal.
Depuis … Toujours il me semble. Aussi loin que mes souvenirs remontent, j'ai cette impression qu'en moi, quelque chose se déchire très, très lentement. Je veux quitter ce pays de merde … Les Etats-Unis d'Amérique, le seul pays au monde ou les habitants ne savent pas parler leur propre langue … La France me fascine, m'attire, je l'aime et ne désire que la rejoindre. Mais je dois protéger les humains des vampires, ici, bien que les humains se sucent eux-même le sang depuis longtemps …. Ce n'est pas l'humanité que je déteste mais cette société moderne que je ne peux pourtant pas m'empêcher d'admirer de par la complexité de son fonctionnement. Dieu a tout mon amour et je l'honore, ce n'est pas pour autant que je respecte ceux qui ont la prétention de se dire « Ses émissaires sur Terre » je méprise la hiérarchie et les codes catholiques, multiplie ce qu'ils appellent « blasphèmes » et qui n'est pour moi qu'une simple provocation, destinée à me détacher de leur autorité; je n'ai pas besoin d'eux pour prouver mon amour au Seigneur. Je multiplie les frasques, les condamnations, les dépravations, je vis dans la passivité, bois à l'excès, fornique, me bat, je fais tout pour tromper l'ennui, fuir le quotidien de cette mission que j'accepte uniquement parce qu'elle me fut confiée par Dieu, je me moque éperdument de ce conflit ridicule.
Je suis un peu comme un prisonnier soumis à la torture, qui aurait les moyens de mettre fin à son supplice, mais qui ne pourrait pas, trop fasciné par ce qu'il est train de subir.

YOUTH IS'NT EASY FOR US • L'ENFANCE DES NEPHILIMS
Quelle chaleur. Depuis une semaine les températures ne descendaient pas en dessous des trente degrés, une vraie torture. Léandre se tenait adossé contre le balcon, tournant le dos à l'horizon qu'il connaissait bien, faisant face à son reflet, qu'il ne connaissait lui aussi que trop bien. Grand et mince, le teint blafard et la mine creuse, le regard dur et les points serrés il se faisait face, se défiait.

« J'en ai marre. »

Non, ce n'était pas ça. Encore.

« J'en ai marre. »

Adolescent de seize ans, frustré, tremblant presque de rage. Il se sentait près du but. Ce devait être un raclement léger, un son montant de la gorge, frottant contre le palais, presque un chuchotis, un son qui devait à peine se prononcer, se noyer dans la masse chantante des mots … Et surtout pas se prolonger dans une parodie d'accent reconnaissable entre mille.
Encore une fois.

« J'en. Ai. Marre. »

Marre, assez, plein le cul, par dessus la tête. Fatigué de ce pays, fatigué de ce ressentit envers des parents à la fois sur protecteurs et affreusement désintéressés, fatigué de ce rôle qu'il n'accomplissait pas avec zèle et dont il se fichait des tenants et aboutissants. Dieu l'avait choisi, il agirait selon sa volonté et mettrait ses désirs de côtés. Tout avait été décidé en une fraction de seconde.

Léandre émergea des profondeurs du sommeil. Il était en nage, l'étouffante chaleur des nuits d'août l'avait une fois encore réveillé. 5H34. Les rayons du Soleil peinaient à percer l'épais manteau de nuages gris, dehors il faisait encore sombre et la pluie ne tarderait sans doute pas à tomber. Il se leva et fit quelques pas hésitants, l'esprit encore embrumés par les vapeurs de l'alcool. Il avait besoin de musique. Ses doigts tâtonnèrent un instant la table de chevet puis il mit la main sur une télécommande. Le gros bouton ovale du milieu. La musique enfla, dans l'absence de lumière, alors que la chambre n'était que gris et contours, elle devint tout. Il chanta.
« Je ne suis que l'ombre d'une ombre qui se pavane oisivement
Sur les dalles miroitantes des longs pavés triomphants
Personne ne peut me croire et nul ne saurait me voir
Je l'entends déjà me répondre « et moi alors ?» ».

Gris, quelle merveille. Plus que tout il savourait ces textes magnifiques qu'il comprenait et prononçait à la perfection, en français.
L'atmosphère avait quelque chose de délicatement onirique, cette musique, l'obscurité qui régnait en maître … Ses pas le conduisirent jusqu'à la salle de bain, ses doigts glissèrent le long des carreaux jusqu'à trouver l'important qu'il activa. L'ampoule grésilla et la lumière inonda la pièce, la douleur explosa à l'intérieur de son cerveau.

La lanière lui brulait l'épaule comme si ce fut un fardeau de ronces et non un sac à dos. Chargé à bloc, celui-ci semblait prêt à lâcher d'un moment à l'autre. Léandre peinait; la douleur, les odeurs de pollens, les angles des boîtes qui lui rentraient dans le dos le fatiguait, mais pire que tout, il y avait le Soleil. Il rayonnait d'une telle force, l'obligeant à plisser les yeux et à regarder le sol. A sa fatigue se rajoutait donc la rage ainsi qu'une effroyable migraine.
« Tel le Christ portant sa croix sur le chemin … Sauf que si tu casses quelque chose, on aura tous les deux droit à un coup de lance ! »
Les mots de sa sœur se frayèrent un chemin à travers le rideau de colère qui était tombé sur son esprit. Elle l'avait ceint d'une couronne de fleurs et il parvint même à sourire tandis qu'il respirait leur parfum. Doux et sucré, un peu comme le sien … Et tandis qu'elle marchait devant lui, il se dit qu'elle était incroyablement belle.

L'eau était glacée, mais elle ne le rafraichit pas. Appuyé contre le lavabo, il observait dans la glace, le reflet de son visage. L'éclairage vif et blanc de la pièce lui renvoyait une image pure, sans ombre, il se voyait exactement tel qu'il était. Une épave de lendemain de cuite. Des cernes soulignaient l'absence d'éclat dans son regard aussi bien que le maquillage pouvait l'affirmer chez les femmes, il semblait s'être rasé avec une hache et il portait encore les trace de sa bagarre d'hier soir. Un sourire déforma son visage de manière si grotesque que c'en était effrayant. Dispersant les dernières vapeur de l'alcool, une simple question vint s'imposer à son esprit : Et Alors ?

« Léandre … Qu'est-ce que tu fais ?
- Rien … J'arrive. »

Il passa l'index sur la fine cicatrice qu'il avait sur l'arcade sourcilière puis il se détourna. L'obscurité retombait.

« Tue le ! »

Les quelques fleurs survivantes au premier assaut se noyaient dans le flot de sang poisseux s'écoulait encore. Il en sentit sur son cou, frissonna. Puis pressa la détente. Bang, ce n'était pas aussi impressionnant que ce à quoi il s'était attendu. Un brusque sursaut et le corps s'effondra sur le sol. Sans fracas, sans plainte, sans blasphème. Il s'était imaginé qu'ils blasphémaient tous. Alors il s'approcha, pas à pas, puis se mit à courir et arriva au côté de la Bête. Les larmes s'accumulaient au coin de ses yeux bien qu'il ne lu aucune peur dans ceux-ci. Cela devait peut-être faire mal, ou bien il s'agissait de frustration.

Le gros bouton ovale au milieu. Le silence revint et il se glissa sous la couverture.
« Désolé pour la musique …
- Tu pensais être seul c'est ça ?
- Non … J'ai pas réfléchi c'est tout.
Elle lui embrassa l'épaule. Peut-être espérait-elle une quelconque marque de tendresse mais il n'en fit rien.

Bang. L'écho se répercuta contre les murs étroits de la rue, lui vrillant les tympans. La chute dura une éternité. Son corps heurtant le sol sembla faire plus de bruit que le cri qu'il poussa. Celui-ci, il ne l'entendit pas, le couvrait de sa propre voix, de sa propre haine. Il s'était promis de ne tirer qu'une seule fois, Dieu jugera bon de faire ce qui était juste.
Alors qu'il se détournait il l'entendait. Étendu sur le sol, blessé, braillant qu'ils étaient frères et qu'il venait de tuer un de leurs ennemis, il était si pitoyable que La foi de Léandre en fut presque ébranlée. Quelle justice y avait-il à faire vivre cet homme? Il avait manqué de peu l'irréparable. Et alors ?

« Glorieux archange saint Raphaël qui assiste au Trône de Dieu, obtenez-moi du Seigneur la grâce que je demande si toutefois elle est conforme à la Gloire de Dieu, sinon, dirigez ma demande et implorez pour moi de notre Dieu la faveur qui convient davantage au salut et aux intérêts de mon âme et à sa Gloire. »


NOW, THERE WILL BE BLOOD • VOTRE 'VIE' ACTUELLE


« Qui es-tu ? »

Je me sentis sourire. Quelle idée j'avais eu de l'amener ici … Lorsque je pousse la porte et que toutes ces odeurs m'assaillent, m'étranglent presque, toutes ces odeurs de sueur, d'alcool de de tabac froid, je me sentais bien. « Ici, la loi c'est moi » dixit le petit panneau découpé dans un carton qui trônait dans l'entrée, aussi noble et droit qu'une plaque de marbre, incontestable. Un bout de quelque part, un endroit sur lequel on tombe une première fois, sans trop y faire attention, puis où on passe le temps sans trop se distraire. Puis on y repense, de temps en temps, ça revient et ça tourne, s'accroche comme une putain de comptine pour gosse à laquelle on ne voudrait plus penser. Puis on cesse de lutter, on se résigne et on se surprend à chantonner à voix haute, puis on en arrive à pousser la chansonnette de sois même et à apprécier ça. Ce cloaque empestant le désespoir et l'amertume était devenu mon deuxième chez moi, c'est certainement pour cela que je l'avais emmené ici.
Elle n'avait pas touché à son verre … Quelle idée j'avais eu de payer un scotch de vingt et un ans d'âge à une fille qui ne saura pas capable de le savourer …

« L'éternelle question … Et l'éternelle réponse, je ne sais pas. »

Qu'est-ce qu'elle était belle. Ses taches de rousseurs et son grand sourire lui conféraient une innocence angélique, une espièglerie démoniaque tandis que les cernes sous ses yeux et la profondeur de ses yeux émeraude lui donnaient l'air d'une reine qu'un souverain jaloux aurait fait emprisonner. Son regard exaltait peine, détresse et mélancolie. C'était le regard de quelqu'un qui avait l'habitude de regarder par la fenêtre. Ce qu'elle fit, souriant néanmoins.

" Tu m'a surprise en pleine action, tu aurais pu me descendre et au lieu de ça tu m'emmène … Boire un verre …
- Tu n'a pas enfreins les lois.
- Certains ne s'arrêtent pas à ça.
- Certains dorment à cette heure-ci. Pas moi et pas toi.
- Tu me dragues ?
- Je discute c'est tout !"

Elle soupira. Elle fixa le fond de son verre pendant un moment, comme je l'avais fait si souvent en espérant qu'un monstrueux tentacule digne de Ctuhlu surgisse et m'entraîne vers d'insondable profondeur, pour me noyer et cacher ma triste dépouille aux yeux des hommes, jusqu'à ce que je finisse par disparaître de leur mémoire. J'adoptais la même posture lorsque je sentis une nouvelle fois son regard se poser sur moi. Nouveau sourire. Seigneur cette bouche … Puis elle leva le verre qu'elle inclina brièvement dans ma direction avant de tremper ses lèvres dedans.

« Desmond, uisge beatha s'il te plaît. »

Un large sourire illumina son visage mangé par une colossale barbe rousse. J'ignore si ce fut le plaisir d'entendre du gaélique écossais ou si mon accent était une telle abomination … Quoiqu'il en soit il me servit une nouvelle fois. Je bus une gorgée puis me détournais en direction de ma compagne qui prit la parole

« Es-tu seulement armé ?
- Ça t'exciterait ? »

Elle rejeta la tête en arrière et se mit à rire. Un rire éclatant dont l'écho se répercutait à l'intérieur de moi, avec une telle profondeur que j'en eu mal au cœur. Ce grand vide semblait prêt à m'avaler, à m'entraîner dans une chute sans fin, un puits sans fond dont l'ouverture se refermerait à mesure que les ténèbres m'engloutiraient. Autant essayer de combler ce vide … Je finis mon verre et Desmond me resservi sans un mot. Son regard en disait suffisamment long. Il n'était pas plein de cette compassion insipide et désintéressée que l'on peut avoir pour le clochard alcoolique dans la rue; ce n'était pas non plus le regard qu'un jeune enfant aurait en face d'un chien à trois pattes, une peine teintée de curiosité et d'amusement glauque dont la profondeur n'a d'égal que le dégoût qu'elle inspire. Je ne suis pas un cabot, je n'ai pas besoin de ta pitié sale gosse. Le regard de Desmond était celui de quelqu'un qui savait et qui n'allait rien faire. Car il n'y avait rien à faire.

- Je ne sais rien sur toi.
- Si ce n'est que ça … Je suis Léandre Louis François Reilly- Fairchild mais tu peux m'appeler Léandre ou Louis à la limite, j'ai v... L'âge d'être ici et je suis un nephilim. Je suis né à Reims, en France. Depuis tout petit je m'exerce au français ce qui avait le don d'énerver mon paternel. Trop fier pour être du Sud qu'il disait … Bah. Durant toute mon enfance j'ai vu les vampires comme quelque chose de lointain, ma famille a le don de se faire un peu oublier, et j'ai tué mon premier à l'âge de quinze ans. J'étais partis allé acheté … Je ne sais plus d'ailleurs … avec ma sœur. Quand nous sommes rentrés ils étaient trois à attaquer mon père qui était allé aidé un ami à chasser il y a quelques semaines. Je suppose qu'ils ont retrouvés sa trace … Bref, ils furent surpris et mon père en tua un. Puis ma mère un autre. J'ai abattu le dernier. Pas de décès tragique, ni d'expériences traumatisantes si ce n'est l'entraînement familial un peu … Rude. Je suis allé en France l'année d'après. Les trois plus beau mois de ma vie … Je suis même tombé amoureux... Et puis, j'ai tiré sur un nephilim. Une fois. Il avait tué un vampire avec qui je discutais depuis quelques minutes … On a à peine eu le temps de faire connaissance … J'avais un peu bu et bang. Je hais ces psychopathes qui dissimulent leur zèle derrière la sainte nature que Dieu nous a confié … Ce sont eux les vrais blasphémateurs ! "

Mon poing s'abattit sur la table et mon verre se renversa. Elle sursauta. Heureusement il était vide depuis un moment, ça m'aurait fait mal de gâcher un bon whisky. Elle me regarda. Ce n'était pas le même regard que Desmond … Mais il s'approchait d'un que j'avais connu et aimé. Desmond me passa sa grosse main calleuse sur la joue - ce qu'il appelait "le toucher des Highlands" et qui avait l'étonnante facilité de débarrasser l'esprit des premières brumes de l'ivresse. Celles qui attisent la rage et creusent le trou que je m'efforce de remplir . Je lui pris la main et nous nous levâmes, je lui posais mon manteau sur les épaules et la tint contre moi alors que nous quittions l'atmosphère intemporelle du Scottish Viking pour nous exposer à la douce mais froide brise du Juin.

"Je n'ai pas froid tu sais … Et où va-t-on ?
- Boire un verre chez moi.
- On sors d'un bar Léandre …
- Chut vampirette, tu ne me facilites pas la tâche la ...





MORE HUMAN THAN HUMAN • AU DELA DE L'ECRAN
PSEUDO/PRENOM Les prénoms c'est surfait.
AGE 16 ans.
AVATAR UTILISE Quorthon.
QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? Ça me brise le cœur de voir autant d'anglais … Sinon l'intrigue offre pas mal de possibilités.
CODE « waka waka it's lousianna. »
PRESENCE Je passerais tous les jours voir si j'ai des réponses à mes rp mais je posterais en fonction du temps et des idées. Jamais plus d'une semaine de retard.


Dernière édition par Léandre Reilly-Fairchild le Lun 13 Sep - 18:40, édité 5 fois
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Armand M. Gauthier
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MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyVen 6 Aoû - 23:05

    Ta mise en page me souuuuuuuuuule, je comprends pas comment régler ce problème T.T


Dernière édition par Armand M. Gauthier le Ven 6 Aoû - 23:17, édité 1 fois
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Léandre Reilly-Fairchild
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MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyVen 6 Aoû - 23:15

Voilà j'ai fini. o/
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Alceste C. Harker
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MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyVen 6 Aoû - 23:36

Bienvenue sur BT.

Avant tout, tu as du te tromper en insérant ton avatar. Dans l'onglet "Avatar" il faut mettre l'URL de l'avatar dans la deuxieme cellule. Et c'est 200x320. Je crois que là, tu l'as mis en largeur.

Pour ta présentation, tu n'as pas fait la partie concernant l'enfance de ton personnage en tant que Nephilim.
Allez! C'est la dernière ligne droite Wink

Courage!
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Léandre Reilly-Fairchild
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Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  Vide
MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyVen 20 Aoû - 22:58

J'ai été long mais je crois que cette fois c'est bon.
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Alceste C. Harker
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MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyMar 24 Aoû - 18:17

Cette fois-ci tout me semble bon. Je te valide.

Il faut que tu ailles te faire recenser dans le sujet des jobs et races.
Tu peux également t'inscrire à l'intrigue en cours pour y participer.

Bon jeu parmi nous Wink
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Léandre Reilly-Fairchild
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MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  EmptyMar 24 Aoû - 23:22

Merci o/
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MessageSujet: Re: Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or." Léandre "D'argent aux deux rinceaux de laurier de sinople passés en double sautoir, au chef d'azur semé de fleurs de lys d'or."  Empty

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