INSCRIPTION A L'INTRIGUE : LE BAL DE L'ALLIANCE ! ICI Nous avons grandement besoin de vampires de sang-froid et de vampires ancestraux (ces derniers issus des postes vacants) ! Il est désormais interdit de faire un vampire ancestral non issu des postes vacants, car ça n'est pas réaliste, il y a bien plus de vampires de sang-froid que de vampires ancestraux ! |
|
| Auteur | Message |
---|
LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:42 | |
| «Le temps emporte tout qu'on le veuille ou non. Le temps efface tout et tout ce qui reste à la fin ce sont les ténèbres. Parfois au cour des ténèbres on retrouve d'autres personnes. Et parfois au cour des ténèbres on les perd à nouveau.» Stepen King « Notre société est comme un bal masqué, chacun y cache sa véritable nature avec un masque.» Robert Louis Stevenson « L'irrationalité d'une chose n'est pas un argument contre son existence, plutôt une condition d'être » FRIEDRICH NIETZCHE « La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. » ALFRED DE MUSSET « La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre. » ALBERT EINSTEIN « Quand vous voyagez à l'intérieur de vous-mêmes, les courants vous entraînent fatalement vers votre enfance et vous risquez fort de retrouver des souvenirs qui vous feront perdre le chemin du retour. » POULIN« Au fond, c'est ça la solitude : s'envelopper dans le cocon de son âme, se faire chrysalide et attendre la métamorphose, car elle arrive toujours. » AUGUST STRINDBERG « J’aime cette apparence ectoplasmique, je suis l’allégorie de ma propre déprime, l’incarnation du laisser-aller et du désespoir » LOLITA PILL « On dit que le temps guérit les blessures. Je ne suis pas d'accord. Les blessures restent. Avec le temps, l'esprit, pour se préserver, les recouvre de cicatrices, et la douleur diminue, mais elles ne partent jamais. » ROSE KENNEDY « Les pires sanglots répandus sur les tombes lebes le sont pour des mots non dits et des actes non faits. » HARRIET BEECHER « l'invisible araignée de la mélancolie étend toujours sa toile grise sur les lieux où nous fûmes heureux et d'où le bonheur s'est enfui. » - BOLESLAW PRUS « Ne prenez pas la vie au sérieux; de toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. » | |
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Sam 19 Juin - 11:51, édité 3 fois |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:43 | |
| Seuls le sang, la famille, l'histoire, le temps, identifient un être humain. Le sang est la meilleure carte d'identité.
Elsons ; un nom = une nouvelle vie. En effet, le nom qu'elle porte aujourd'hui n'est pas celui qu'elle a toujours porté, bien au contraire. Sa mère ne voulait pas que sa fille porte son nom pour une affaire macabre et la mère avait peur que cela retombe sur sa fille. Alors, elle lui donna le nom de Elsons, quelques années après sa naissance et dans la foulée elle prit le même nom. Manahune aurait dû s'appeler : Mildensen. Il s’agissait du nom de son père. Mais ce dernier ayant deserté sa vie depuis sa prime jeunesse, il était exclu qu’elle porte son nom. Qui plus est après ce qu’elle lui a fait. Manahune ; voilà son prénom ou du moins son premier prénom. Sa mère affectionnait particulièrement ce dernier. Les manahunes étaient une couche de la population dans l’ancienne société polynésienne. Il y avait la famille royale, les gens aisés et les manahunes. Ils étaient « la pourriture de la terre », seuls à pouvoir la cultiver, ils comprenaient les arbres et allaient se réfugier dans leur creux lors de danger. Population complexe et proche de la nature ils étaient. La mère de la demoiselle la nomma ainsi pour la beauté du nom et la beauté qui émanait de ces gens. Le deuxième prénom qu'elle lui donna peu paraître étonnant, car c'est Lucifére. Oui, c'est bien ça : Lucifére. Madame Elsons pensait qu'en chaque personne il y avait une part de lumière et de noirceur. En l'appelant, Leuconoé elle eut l'impression de lui donner un bout de lumière et en l'appelant Lucifére elle lui donna la noirceur. Ce second prénom représente bien la manière de penser et le monde qu'avait sa mère. Enfin, il y a Leuconoé. Il s’agit d’un prénom latin, nom de femme, qui désigne un personnage sans doute imaginaire; la valeur étymologique du nom lui donne tout son sens dans ce poème: leukòs noûs: "esprit candide ", et donc prêt à croire les spéculations des astrologues; mais aussi, peut-être, "esprit blanc, esprit clair", rappelant ainsi à la femme crédule que son nom doit l'encourager à renoncer aux numérations obscures des mages. Un personnage présent dans Horace à l’ode l.11 où elle cherche l’heure de leur mort.
Tu ne quaesieris quem mihi, quem tibi finem di dederint, Leuconoe, nec Babylonios temptaris numeros. Vt melius quicquid erit pati, seu pluris hiemes seu tribuit Iuppiter ultimam, quae nunc oppositis debilitat pumicibus mare Tyrrhenum. Sapias, uina liques et spatio breui spem longam reseces. Dum loquimur, fugerit inuida aetas : carpe diem, quam minimum credula postero. La mère de Manahune lui donna ces prénoms dans cet ordre ci : Leuconoé Lucifère Manahune. Dans la vie quotidienne on l’appel Manahune ses prénoms sont donc mit en place de cette manière : LL. Manahune. 24 ans; dans quelques jours, Manahune aura dix-sept ans, cela ne semble pas la déranger plus que ça. Cependant, au fond, cela suscite une nouvelle remise en question qui, peut être, sera la porte ouverte à de nouveaux ennuis pour elle. 1 janvier & Walnut Grove ; son arrivée fut sujet à discorde. En effet, la demoiselle commença à pointer le bout de son nez un 31 décembre à 23h58 et fut complètement sortie du corps de sa mère le 01 janvier à 00h01. Le problème fut de lui donner un jour de naissance. Qui plus ait, à cette date devait passer une loi sur l'assurance santé pour les jeunes enfants ou quelque chose dans le genre. Et si l’enfant était née avant le 1 janvier et bien elle n'aurait pas bénéficié de ces choses là. Heureusement, les médecins et sages femmes furent compréhensifs et accordèrent que la petite soit née le 01 janvier à 0h001.
_____________________ citation ; JEAN-MARIE ADIAFFI bannière ; dodixie _ AE
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Sam 19 Juin - 18:55, édité 3 fois |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:44 | |
| Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sèmeune habitude, tu récolteras un caractère ; sème uncaractère, tu récolteras une destinée.
folle ;
« Ma folie est mienne, voilà une chose dont je suis certaine. » La folie a bien des sens, biens des représentations. Le mot folie est déjà grand tout seul. Il y a plusieurs types de folie et il faut bien l’avouer Manahune en possède plus d’une. Une folie ou plutôt une inconscience des choses. Naïveté de sa part pour beaucoup, mais la réalité est loin. Elle sait pertinemment que certains de ses actes peuvent engendrer des choses parfois irréparables comme sa mort, par exemple. Pourtant, elle le fait. Et puis il y a son autre folie, cette folie à laquelle les médecins ont donné un nom. Maladie complexe aux explications longues et barbantes. Ce fut, pour beaucoup, de la schizophrénie, mais au bout du conte ce n’était pas cela. Les symptômes sont les mêmes, mais la cause différente. C’est les tumeurs. Dépressive depuis sa prime jeunesse, enfant solitaire dont la vie lui semblait étrange. Rapidement, Manahune manifesta un sens de la vie différent. Doucement vint se nicher en elle, la folie. Entendant des voix lui comptant des histoires, entendant des voix l’accompagnant dans sa vie de solitaire. Folie qui au regard des médecins était schizophrénie, sans doute le fusse, mais désormais la raison de sa folie c’est les tumeurs. La première qui lui fut diagnostiquée se trouvait dans une partie spécifique de son cerveau créant ainsi des illusions. Des illusions bien plus puissantes que l’aurait fait la schizophrénie. Puisque ses illusions, Manahune pouvait aisément les toucher, les sentir, les entendre. Le temps à passer, mais sa folie est toujours là. Ayant refusé de continuer les traitements et opérations la jeune femme se retrouve avec sa folie et la mort au pas de sa porte. Pourtant, elle continue d’aller retirer dans les pharmacies le traitement qu’on lui avait prescrit. Parfois elle le prend, mais cela est bien rare.
« Je n’ai pas la prétention de me prétendre être une intellectuelle tel que put l’être les grands penseurs. » Parlant de manière, assez souvent, soutenu, la jeune femme étonne par sa connaissance et son savoir. Jeune, rejetée par les autres, la petite allait trouver amitié dans les livres. A quinze ans, elle avait déjà lu ce que certains nomme les grand auteurs : Tolstoï, Balzac, Sartre, Voltaire, Hugo, Homère, Freud, Wilde etc. Bien évidemment, la demoiselle ne se cantonne pas à ces auteurs. Elle est aussi tout à fait apte à lire tout ce qui est littérature contemporaine. Si elle s’est d’abord lancée, dans la grande ‘littérature’, c’était pour comprendre. Comprendre pourquoi ces personnes avaient marqué l’histoire littéraire, que pouvaient-ils avoir en plus des autres ? Et bien, pour être sincère, à la lecture de certains, elle fut bien déçue. A Tolstoï elle ne comprit son rang de grand auteur, ne voyant aucunement une démarcation dans ses textes si ce n’est de nombreux personnages ayant un nom de famille se finissant par la même syllabe. A Sartre, elle trouva une part d’égocentrisme dans son autobiographie et ne parvenu à la finir. Cependant, elle s’accrocha et lu les jeux son fait. Elle en apprécia la lecture, mais l’écriture lui sembla bien banale. A Balzac, Baudelaire, Voltaire, elle eut le souffle coupé. Ecriture intense et pour elle fascinante elle aimait à se perdre dans leurs phrases interminables. Bien qu’il faille l’avouer, Balzac fut difficile à terminer et à suivre. Ayant du mal à se rappeler correctement des pages précédentes tellement le récit était décrit. Voltaire, elle accrocha de manière importante, ayant commencé par L’ingénu elle continua par Candide. Quant à Baudelaire, Les fleurs du mal la touchèrent bien plus qu’elle ne voulu l’admettre. Jules est donc une personne appréciant la lecture tout comme l’actualité mondiale. Elle aime à tenter de comprendre pourquoi telle guerre à encore lieu, pourquoi les choses sont faites ainsi etc.
solitude ; « Une fois, quelqu'un m'a dit, la solitude est un jardin où les fleurs sont fanées depuis bien longtemps.» La solitude est un pilier qui constitue la demoiselle. Rejetée par les autres depuis sa prime jeunesse c'est dans un château de mensonge et de faux semblants qu'elle est devenue reine. Amie des imaginaires et des éclopés. Son sourire ravageur cachait bien des mystères. Sournoise pour certains mais pour la plupart folle, elle était un amusement. Comme on s'amuse à regarder les animaux en cage les enfants s'amusaient à observer cette fille dont le prénom était imprononçable. Rare amis réels, ils lui firent subir des choses qu'elle ne parvint jamais à expliquer à un adulte. Insulter de toute part elle aurait pu être une populaire et solide fille avec sa manipulation des apparences. Mais au lieu de ça, elle s'enferma à double tour dans un château de solitude. Rare amis elle eut pourtant avec le temps elle tenta de s'ouvrir aux autres finissant par trop souffrir de cette solitude. Enfant blessé au plus profond d'elle, jamais elle ne donna sa confiance à quiconque à part des bribes. Cause à effet, les petites trahisons aux quels elle eut le droit quand elle testa la confiance des gens. S'étant créé un monde joie et de rire sa famille apparait aux yeux des autres comme calme et aimante.
complexe ; « La complexité est quelque chose d'intéréssant.» Aussi mystérieuse que complexe les gens se demande ce que peut bien cacher au plus profond d'elle cette fille. Quand bien même ils s'intéresseraient à elle. Personne n'est encore parvenu à connaître en totalité la demoiselle. Pourtant certains pensent l'avoir fait comme M. Semps, une de ses amies proche. Manahune est aussi complexe qu'un casse tête chinois. Joyeuse à un moment son visage peut se fermer en une seconde. Manipulant les apparences avec beaucoup de minutie et une grande maitrise, les gens ne savent même pas quand elle ment ou non. Réussissant un maintenir le mensonge dans la durée et ne se perdant pas elle s'est créée un monde de mensonge qu'elle expose aux autres pour leur montrer qu'elle est heureuse. Aucun petit ami connu. Une force violente avec laquelle elle clame que l'amour est une belle bêtise, que ce sentiment a été inventé par l'homme pour se soulager et trouver un prétexte pour coucher. Se sentant de plus en plus seul, ces derniers temps elle aimerait avoir un petit ami pour s'amuser et ne pas se prendre la tête.
angoissée ; agressive ; allergique ; attachante ; amère ; autodestructrice ; belle ; brillante ; courageuse ; curieuse ; critique ; cultivée ; calculatrice ; complexe ; discrète ; déterminée ; douée ; déjantée ; élégante ; franche ; gourmande ; hystérique ; intelligente ; joueuse ; loufoque ; lunatique ; marrante ; mystérieuse ; manipulatrice ; menteuse; persévérante ; paradoxale ; perdue ; réaliste ; rancunière ; ‘‘schizophrène’’ ; secrète ; torturée ; timide ; unique ; volage ;
_____________________ citation ; DALAÏ LAMAMA bannière ; ilyana _ AE
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Sam 19 Juin - 18:57, édité 2 fois |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:44 | |
| « La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. »
la première fois et dernière fois que je l’ai vu ;
« Malheureusement, il y a des moments où la violence est la seule façon dont on puisse assurer la justice sociale. »
La neige avait encore pris possession des paysages. Ce n’était pas la première fois que Leuconoé voyait la neige. Pourtant il y avait toujours cette même excitation dans ses yeux quand elle en voyait. C’était une journée qui avait particulièrement bien commencée puisqu’elle avait débuté par une bataille de neige en compagnie de sa mère et d’une amie vivant juste à côté de leur maison. Une maison se situant dans une petite ville d’à peine cinq cent habitants près de la frontière canadienne, un village réputé pour sa beauté et sa pureté. La journée s’était donc bien commencée, c’était la manière dont elle allait finir qui fut tragique. Tout commença quand le soleil fut remplacé par la lune dans ce ciel peut nuageux d’hiver. Ce soir-là, Leuconoé était allée se coucher tôt, fatiguée par toutes ses émotions et par le fait qu’elle dormait très mal depuis plusieurs jours. C’est donc dans les alentours de neuf heures du soir qu’elle alla gagner le pays des rêves quant à sa mère elle était restée dans le salon regardant une émotion typiquement américaine. Dans ce foyer, il n’y avait plus de père, ce dernier n’avait jamais vraiment existé aux yeux des deux Elsons. L’homme qui avait aidé à sa création avait quitté la ville pour aller vivre aux crochets des vampires et par la suite en devenir un. Il avait toujours était fasciné par ces créatures et envieux. Il avait réalisé son rêve en les rejoignant, pour cela il quitta sa fille et son amour. Pourtant, cela ne semblait pas le perturber à forte dose. Alors peut-être était-ce mieux qu’il ait quitté leur vie. Cette nuit-là, fut agitée dans le monde de l’enfant de dix ans. En effet, elle qui était encore une petite fille, fit un cauchemar assez horrible, mais qui était récurrent. Malheureusement, comme à chaque fois, elle n’arrivait pas à en sortir et devait attendre la fin. Quand cette fin arriva, la petite fille se réveilla en sursaut, tremblant de tous ses membres. Pour être certaine d’être réveillée, elle se passa les mains sur son visage et alla même jusqu’à se pincer le bras. Après être restée quelques secondes assise sur son lit elle se recoucha tentant de se rendormir. C’est alors qu’elle commença à attendre des voix. Des voix qui lui étaient familière, il y avait celle de sa mère et l’autre appartenait à un homme. Ils se disputaient, cela inquiéta la petite qui quitta son lit sans faire un bruit. Et c’est avec cette même discrétion qu’elle alla voir ce qui se passait. Les deux personnes se disputant se trouvaient dans le salon, alors Manahune trouva cachète derrière l’escalier en collimasson. A cet endroit elle entendit chacune des paroles prononcées. A cet angle de vue, elle ne voyait que sa mère et de l’homme elle ne voyait que le dos, mais rapidement, en cherchant au plus profond d’elle-même cette voix ne lui était pas inconnu : c’était celle de son père. Elle ne l’avait vu qu’une fois, lorsqu’elle avait six ans. Ce dernier était venu à la sortit de l’école et lui avait parlé. C’était alors pour elle un inconnu, il lui dit qu’il était son père et qu’elle lui manquait. La petite ne le crut pas et courrut en direction de sa mère qui venait tout juste d’arriver. « Tiens tiens, Cathy. » « Qu’est-ce que tu fais là ? » « Ce que je fais là, mais voyons, tu ne t’attendais quand même à ce que je ne revienne jamais ? » « … » « Je veux la voir ! » « Il en ait hors de question. Tu vas la faire souffrir, elle n’a rien demandé, elle ne doit pas être l’une de vos victimes. » La mère de Manahune parlait du groupe auquel cet homme ,qu’elle avait aimé, s’était ratâché. Un groupe qui avait fait de lui un vampire. Le ton montait de secondes en secondes et les baguettes étaient déjà sorties, bien que dissimulé dans leur dos. L’homme se rapprocha et serra ses points, il semblait ainsi bien plus dangereux et violent qu’auparavant. « C’est ma fille, j’ai le droit de la voir ! » « Ta fille ? Et qu’est-ce que tu en as eu à faire quand elle était enfant ? La réponse je la connais déjà : RIEN. Tu es parti comme un lâche, allant assassiner je ne sais trop qui pour le compte de je ne sais qui. » « Cela ne te regardes pas ! » « Cela ne ne regardes peut-être pas, mais il est hors de question que ma fille paye les conséquences de tes actes. » « Tu ne pourras pas m’empêcher de la voir. » « Mais d’ailleurs, pourquoi est-ce que tu veux la voir ? » « Sa ne te regardes pas ! » « Oh que si ça me regardes, tu parles de ma fille. » « NOTRE fille ! » « Tu n’as pas répondu ! Qu’est-ce que tu lui veux ? » « Elle a quelque chose que je dois changer. » « Alors là, il est hors de question que tu l’approches, elle ne serra pas comment ceux que tu fréquente. » « Tu ne sais rien d’eux. » « Assez pour savoir qu’ils sont sanguinaires, sadiques, dangereux comme toi. » « Elle est où ? » L’homme tourna la tête et vit, qu’au premier étage, la porte de sa chambre était ouverte. Il commença alors à se diriger vers les escaliers. « N’y penses même pas ! » L’homme sortit ses crocs et se jetta sur la femme, la plaquant contre le mur avec violence. Il la regarda dans les yeux pour lui faire comprendre qu’elle ne devait pas se mettre en travers de son chemin. « Tu t’en sors encore bien. » « Ne l’approches pas ! » Manahune était toujours postée derrière l’escalier, ils ne l’avaient toujours pas vu et c’était mieux ainsi. Il était temps qu’elle aille chercher quelque chose, un quelque chose que sa mère lui avait montrée il y a quelque mois. Cette dernière lui avait expliqué qui si un jour elle avait un problème, que quelqu’un voulait lui faire du mal elle devait l’utiliser. Et dans ce cas-ci, ce n’était pas elle-même qu’elle voulait défendre, mais sa mère, car cet homme était dangereux. La petite fille alla dons dans la chambre de sa mère, sans faire un bruit, elle ouvrit un placard dans lequel elle ouvrit ensuite un petit tiroir caché par des vêtements. Elle en sortit une arme, un pistolet à balle en bois. Les mains de la petite tremblées, elle avait peur, mais elle ne voulait pas que sa mère soit blésée et vu les cris qu’elle entendait cela pouvait être déjà le cas. En effet, alors qu’elle allait chercher de quoi se défendre, sa mère se fit torturer pour avouer où était sa fille, mais elle ne répondit pas. Manahune retourna près de l’escalier, encore plus terrifiée par la scène qui se déroulait devant ses yeux de petite fille. «Elle est où ? » Le corps de sa mère se tordit et elle souffrait attrocement à cause des coups que lui infligea celui qui était le géniteur de sa propre fille. « Je sais pas ! » « Tu mens ! elle est là, alors dis-moi où elle est ! » « Je sais pas ! » D’autres coups furent abattus sur elle. Ce fut de trop à supporter pour Manahune, elle sortit alors de sa cachette, les bras derrière son dos. Elle descendit les escaliers doucement tout en déclarant : «Je suis là ! »Après s’être tordue de douleur sa mère la regarda horrifié. « Ne la touches pas. Manahune non ! Cours ! » « Bang Bang. » L’homme allait la mordre ou malheureusement , heureusement ou malheureusement Manahune avait été plus rapide et avait pointé l’arme dans le dos de l’homme avant d’y mettre deux coups. La petite fut elle-même horrifiée de son geste, mais cela avait été la seule chose à faire pour sauver sa mère. Cette dernière fut à la fois horrifiée et soulagée. « MAAAANNAAHUUUNNNEE » La petite regardait le corps de l’homme qui était en trint de vivre les dernières secondes de sa vie. Hironique sachant qu’il venait d’atteindre l’éternité qu’il désirait tant depuis moins de quatre ans. « Désolé, mais c’était la seule chose à faire. Il n’avait pas le droit de te tuer ! »
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Sam 19 Juin - 18:59, édité 5 fois |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:44 | |
|
elle est partie, elle n’est plus là, c’est étrange vrité ou menssonge ?
« On ne s'arrache pas de l'enfance, qu’elle ait été heureuse ou malheureuse ; les origines frappent le subconscient comme on le dit d'une médaille. »
La neige était revenue. Chaque année il y avait une période de neige. Cette année là il y eut encore plus de neige que par le passé. Ce qui mettait en joie le foyer des Elsons. Toutes deux en grande admiration devant ces petits flocons blancs. Ils recouvraient les paysages et lui offrait la pureté de ses premiers jours. En ces jours blancs, les deux Elsons faisaient de longues balades malgré la petitesse de la ville. Il faisait froid, un froid violent et pincent mais cela ne décourageait pas la mère et la fille. Même en allant au travail et à l’école elles faisaient leur balade quotidienne. C’est d’ailleurs pour cela que Manahune s’empressa de quitter l’école. C’est seule qu’elle rentrait chez elle cette fois-ci trouvant ses camarades trop lent et l’empêchant ainsi de partager pleinement sa balade. Un sourire étirait le visage de porcelaine de Manahune, elle était heureuse. Toute cette neige la rendait heureuse. Et puis, c’était bientôt les vacances d’hiver. Cela signifiait avoir un sapin avec des petites lumières, des heures sur le canapé sous une couverture à regarder des films cucul la praline. C’était tellement agréable. Cela rendait la demoiselle encore plus heureuse. Elle arriva enfin chez elle, passant le partaille aisément elle alla jusqu’à la porte d’entrée en sautillant. Étrangement la porte était légèrement entrouverte. Manahune fronça les sourcils, peut-être sa mère était-elle allait dans le jardin. Leuconoé poussa la porte pour qu’elle souvre en grand elle pénétra alors dans la maison. « MAMAAAN MAMAN MAMMMAAAN !! » Elle cria, mais aucune réponse. Son cœur se serra. Ce n’était pas normal. Déposant son sac dans l’entrée elle regarda l’escalier, mais rien alors elle avança pour arriver dans la cuisine, toujours rien. Elle alla alors dans le salon et s’effondra sur le sol. Son cœur lui faisait horriblement mal. Criant de toutes ses forces, des larmes venaient perler son visage. Un flot de larmes qu’elle ne parvenait pas à stopper. Elle était sous le choc, elle ne savait pas ce qu’elle ressentait exactement. Elle n’arrivait pas à croire que c’était possible. Pendant plus d’un quart d’heure elle resta au sol, et finit par lever la tête. Son cœur fit un bon. Une corde au plafond au bout de la quelle se trouvait sa mère, inanimée. Il y avait du sang sur le sol, une marre immense de sang. Près de Manahune, un bout de papier qu'elle prit avec précaution. Les larmes roulaient comme des cailloux sur ses joues. Son visage blanc devenu rougeâtre semblait abîmé. L'enveloppe, elle eut du mal à l'ouvrir, ses mains tremblées tellement qu'elle faillit la lâcher. Pourtant elle parvint à l'ouvrir et à extirpé le bout de papier sur lequel était griffoner des phrases. Manahune les lu à voix hautes, sa voix étaient tremblantes et fit plusieurs ratées, elle se mit à hocketer. Les larmes de son visages allèrent pour la plupart s'écraser sur le papier qui finit par être mouillé. Sur ce papier, sa mère lui expliquait qu'elle était fatiguée et qu'elle n'en pouvait plus, que ce n'était pas sa faute et qu'elle l'aimait. ça ne ressemblait pas à sa mère. Et puis cette marre de sang, c'était supsect. Pourtant Manahune lava la pièce, horrible, elle dû elle-même laver le sang de sa mère. Elle passa la nuit allongée près d'elle, c'est seulement le lendemain qu'elle appela les secourts qui vinrent récuperer le corps. Manahune appela sa grand-mère pour qu'elle vienne s'occuper d'elle sinon elle serait placer dans une autre famille.
_____________________ citations ; LOUIS NUCERA gifs ; dodixie _ LJ
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Jeu 17 Juin - 11:59, édité 4 fois |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:45 | |
|
« La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre »
- « Nous sommes parvenus à supprimer certaines métastases, malheureusement de nouvelles ont vu le jour, nous pouvons en supprimer quelques-unes, une opération est programmée dans une semaine. Il faudra ensuite reprendre le tr… » - « Non ! »La jeune femme regarda son médecin, dans les yeux, sans flancher comme aurait pu le faire bons nombres d’autres. Son visage, pourtant si angélique, portait ce jour-là une expression grave. Le médecin resta sous le choc quelques secondes, mais une fois le fil de ses pensées retrouvé il se lança dans une tirade. Cherchant par touts moyens de convaincre sa patiente de rester. Manahune continua de le regarder, droit dans les yeux, hochant négativement la tête à chaque fois qu’il proposait une autre solution. Au bout de quelques minutes, il se retrouva sans aucune autre proposition à faire et c’est ce moment-là que choisit la jeune femme pour reprendre la parole. - « Les risques, je les connais, c’est mon choix, il m’appartient. Je suis majeure depuis déjà quelques temps, je n’ai donc besoin de l’accord parental. » - « Mais… » - « Mais quoi ? Les méthodes ont donné de bons résultats ? Non ce n’est pas vrai, il y a eu un ou deux miracles pas plus. »- « Mais ça pourrait être vous le prochain miracle ! » - la demoiselle eut un petit rire - - « L’optimisme n’a jamais été mon fort, j’arrête, point ! Tant mieux si je m’en sors, tant pis si ça se termine. Douze opérations, des semaines passées dans une chambre à vomir, à souffrir, j’en ai assez. De toute manière il n’y a personne qui m’attend au bout et je n’ai pas la force de me battre seulement pour moi… »Le médecin sembla vouloir ajouter quelque chose, mais à peine eut-il entrouvert la bouche que sa patiente lui fit un signe négatif de la tête alors le médecin se retint, se contenant de la dévisager. Jeune femme, au destin incertain, aux yeux envoutant et au charisme plus qu’évident, avait décidé d’arrêter. Cela la mènerait peut-être à la mort et elle le savait pertinemment, mais elle avait fait son choix. Et elle contait bien le faire respecter. Le docteur Beckman, après l’avoir regardé pendant plusieurs secondes, la salua par politesse et aussi pour saluer son courage. Le mot courage semble sans doute abusé dans une pareille situation. Pourtant, abandonner son traitement revenait, en quelque sorte, à signer un bout de sa mort aux yeux du corps médical tandis que pour la patiente cela lui semblait revenir au même. Le médecin se dirigea vers la porte et alors qu’il était sur le point de quitter la chambre, la jeune femme se manifesta. - « Ne cherchez pas quelqu’un pour me faire changer de chemin, vous perdriez votre temps et nous savons, touts les deux, à quel point votre temps est précieux pour cet hôpital. Je peux mourir comme je peux vivre, si j’avais continué le traitement la seule différence aurait été la douleur violente et atroce… Merci pour tout. » Le médecin ne se retourna pas, pourtant ces paroles l’avaient touché profondément et ça, Manahune était loin de s’en douter.
_____________________ citations ; ALBERT EINSTEIN gifs ; mininoie _ LJ
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Mer 16 Juin - 17:39, édité 7 fois |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 14:46 | |
| « Une conclusion, c'est quand vous en avez assez de penser. »
Petite, quand on demandait ce que je voulai être plus tard, je répondai « être quelqu’un ». A peine mes mots sortaient de ma bouche que la personne en face de moi fronçait les sourcils d’incompréhension. Et alors sa voix s’élevée pour rétorquer « comment ça quelqu’un ? ». A cette question je ne répondai jamais. Me contentant de regarder la personne avec mes grands yeux, je la laissai ou bien nous dérivions sur un autre sujet. Devenir quelqu’un ! j’ai toujours voulu devenir quelqu’un. Petite je ne trouvai pas que j’avai une vie. Une vie banale m’a été offerte. Et je me sentai mal, très mal. Ne supportant pas ma vie je culpabilisai de me morfondre sur moi-même alors que des gens vivaient et vivent des choses bien plus horribles, j’étai là, à me plaindre. Et puis la vie a continué et alors elle a mis sur mon chemin des obstacles et des épreuves dont je ne m’attendai pas. Je n’étais pas encore entré dans l’adolescence, que j’avai déjà ôté la vie à quelqu’un, à mon père qui plus ait s’était un vampire. Ce jour-là j’avais tellement eu peur qu’il tue ma mère que tirer me sembla être la seule issue pour qu’il la laisse. Malgré ce moment, nous sommes restées dans la même ville, mais nous avons changé de maison. Ma mère avait peur que des vampires soient à notre recherche. Mais les années ont passé et cela la rassurée. Malheureusement elle est partie elle aussi, pendue dans le salon. Une simple lettre à ses pieds. Et puis, tout ce sang au sol. C’était tellement étrange. Elle ne pouvait pas s’être suicidée ainsi. Elle ne se serait pas faite saigner avant de se pendre. J’ai dormi près d’elle, une dernière fois, et j'ai dû laver son sang par moi-même. La scène me reviens en mémoire et cela fait monter les larmes à mes yeux. Par la suite, je suis allée vivre chez ma grand-mère. Mais au bout de deux ans c’était plutôt moi qui m’occupai d’elle que le contraire, malade depuis toujours. Cela fait désormais quatre ans que j’ai quitté sa maison, les deux premières années je suis allée à la fac, pour apprendre ce dont je rêvai. Une fois de plus la vie posa un obstacle, et au bout de ces deux années c’est à l’hôpital que je suis allée, j’y suis restée un bon bout de temps, faisant des allées et retours. Et puis il y a six mois je suis partie. Je ne voulai plus de cette vie. La mort et sur le seuil, prête à sonner à tout moment. Mais au moins maintenant, je peux faire ce qui me plait. Une forme de folie est venue se nicher en moi, ainsi je parie qu’il n’y a pas des centaines de colombes dans la pièce pourtant je les vois. Je suis devenue quelqu’un. Les épreuves de la vie on fait de moi ce que je suis, et peut-être, pour la première fois de ma vie, je suis heureuse à vagabonder dans les Etats-Unis. Alors, comme l’a écrit Ernest William Henley « Je suis le capitaine de mon âme, Le maître de mon destin. »
_____________________ citation ; HERBERT ALBERT FISHER bannière ; kouchnouf
PSEDUO/PRENOM • [/color] ny / nymphadora
AGE • that it’s a secret I’d never tell
AVATAR UTILISE • Blake Lively
QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? • GENIALLISIME, il m’a redonné de l’inspiration CODE • comme pack man : waka waka it s lousianna PRESENCE • touts les jour en période de vacances sauf en cas de déplacement sinon touts les deux jours en période scolaire
Dernière édition par LL. Manahune Elsons le Sam 19 Juin - 19:10, édité 2 fois |
| | | Helena Vassikin She's a fucking vampire who wants your blood right now.
Messages : 39 Age joueur : 30 Mood : D'humeur conspiratrice.
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 18:15 | |
| ça s'est de la fiche ! BIENVENUE! avec la jolie Blake. |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 18:27 | |
| merci sur ton avatar, elle semble très jeune s.johanson |
| | | Helena Vassikin She's a fucking vampire who wants your blood right now.
Messages : 39 Age joueur : 30 Mood : D'humeur conspiratrice.
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Mer 16 Juin - 18:30 | |
| oui, mais je ne sais pas si c'est vraiment le cas ou si le maquillage y est pour quelque chose. |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Sam 19 Juin - 11:53 | |
| il doit y avoir un mélange des deux !
voilà ma fiche est terminée, je suis désolée ce n'est pas génial et puis je me rends bien compte que les évènements décrits font beaucoup pour un même et unique personnage, cependant j'y tiens mais si vous me demandez de supprimer des choses je le ferrais dès que possible. de plus, je serais absente à partir de lundi jusqu'au dimanche voir peut-être le lundi aussi pour des raisons personnels je ne disposerais pas d'ordinateur. merci de vous être intéressé à ma fiche =P |
| | | A. Emma Sainsbury-Brown She's a normal human who knows what kind of world she lives in.
Messages : 283 Age joueur : 33 Localisation : somewhere over the rainbow.
Mood : overexcited.
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Sam 19 Juin - 16:23 | |
| Bienvenue à toi sur BT (:
Alors j'aime beaucoup ta fiche, très complète en revanche il y a une seule chose qui me perturbe : l'orthographe. Serait-il possible pour toi de passer ta fiche sur word ou un site comme BonPatron pour corriger cela avant que je te valide ? Ensuite par la suite, en rp, il faudra faire attention, surtout aux conjugaisons (: Voilà, bon courage et je te valide dès que c'est fait |
| | | LL. Manahune Elsons
Messages : 23 Localisation : with the nature
Mood : strange
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Sam 19 Juin - 19:11 | |
| aïe aïe sincérement désolé, c'est surtout le dernier message, il n'avait pas été relu mais maintenant c'est fait ... |
| | | A. Emma Sainsbury-Brown She's a normal human who knows what kind of world she lives in.
Messages : 283 Age joueur : 33 Localisation : somewhere over the rainbow.
Mood : overexcited.
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} Dim 20 Juin - 12:38 | |
| Ce n'est pas grave, je vois que là il y a de l'amélioration, merci d'avoir fait cet effort (: Comme je te l'ai dit pour tes prochains rps n'hésite pas à utiliser des vérificateurs orthographiques, après tout ce n'est pas parce qu'on est pas un as de l'orthographe qu'on ne peut pas écrire et rp (: Je te valide donc |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: •• at the end of her life, she's alone {ended} | |
| |
| | | |
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|