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Nous avons grandement besoin de vampires de sang-froid et de vampires ancestraux (ces derniers issus des postes vacants) !

Il est désormais interdit de faire un vampire ancestral non issu des postes vacants,
car ça n'est pas réaliste, il y a bien plus de vampires de sang-froid que de vampires ancestraux !
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ange's bleeding fuckin' glitter; done.

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Angelina G. Hartley
Angelina G. Hartley


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ange's bleeding fuckin' glitter; done. Vide
MessageSujet: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptyDim 13 Juin - 19:29



HUMAIN • ANGELINA GLENN HARTLEY

DATE DE NAISSANCE 13 Mai 1993
LIEU DE NAISSANCE nouvelle orléans
ÂGE 17 ans.
ORIGINE américaine ; italienne
METIER/OCCUPATION sans-emploi
CONNAISSEZ VOUS L'EXISTENCE DES VAMPIRES ? oui.

I WANT MORE BLOOD • QUESTIONS TECHNIQUES

TRAIT DE CARACTÈRE rêveuse - aérienne - marginale - insaisissable - introvertie - moqueuse - affectueuse - tactile - possessive - espiègle - sensible - décadente
CE QUE VOTRE PERSONNAGE DU MONDE SURNATUREL ?indiquez ici la vision du monde surnaturelle que possède votre personnage, si votre personnage a connaissance des vampires, sa vision sera alors très différente de ceux qui ignore. Et s'il est au courant, vous pouvez donnez son avis sur les vampires, et les Nephilim, évidement.


Angelina est bien sûr au courant de l’existence des vampires, puisqu’elle entretient une relation « amoureuse » avec l’un d’entre eux. Mais ses renseignements sont très limités. Elle ne sait pas exactement comment devenir vampire, ne sait pas non plus quelles caractéristiques cela implique en détail, n’est pas non plus au courant du « passé » des vampires ancestraux, et n’a pas non plus eu vent de l’existence des néphilims. Elle ne s’intéresse d’ailleurs aucunement au sujet. Etant une « banque de sang », elle passe ses journées dans un état lugubre, et ne vit que par amour. Autant dire que le monde du surnaturel ne l’intéresse guère, tant sa condition l’empêche de vraiment s’impliquer dans quoi que ce soit d’autre que sa relation.

TODAY IS HISTORY • L'HISTOIRE DE L'ËTRE HUMAIN

Indiquez ici, sous forme de rp, ou sous forme de texte relatant ou sous forme d'anecdote des moments de la vie de votre personnage. Vous pouvez par exemple raconter sa rencontre avec le monde des vampires s'il en connait l'existance, à vous de voir ! indiquez ses manies, ses habitudes, ses but, ses désirs. Bref ce qui constitue un personnage dans sa totalité. MINIMUM 600MOTS (aidez vous de word, outils->statistiques)

MORE HUMAN THAN HUMAN • AU DELA DE L'ECRAN

PSEDUO/PRENOM vesper
AGE 17
AVATAR UTILISEwilla holland
QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? tout plein de chose
CODEun goût amer, vous dites ? waka waka, it's louisianna
PRESENCE 5/7


Dernière édition par Angelina G. Hartley le Dim 20 Juin - 15:08, édité 19 fois
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Angelina G. Hartley
Angelina G. Hartley


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ange's bleeding fuckin' glitter; done. Vide
MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptyDim 13 Juin - 19:29



    (c'est mal écrit, j'l'ai fait à la va-vite, désolé ><)
    « J’ai 17 ans. Depuis quelques semaines. Je suis italienne et américaine. Quand je dis ça, les gens s’imaginent que je suis du genre golden generation, résultat d’un croisement social judicieux, que je passe mon temps entre cours de violoncelle, junk food et marijuana, genre hipster, heroin-chic, tout ça… C’est cool. Mais c’est pas tellement le cas

    Les lumières crépitent, les vieux adolescents hurlent, lèvent les bras, s’épuisent, rient aux éclats, et un DJ français du genre indie s’époumone auprès de son matos de pointe. Le blond de tout à l’heure lui passe un bras autour des épaules et elle se colle à lui plus encore. Il sent la sueur, son corps est bouillant et elle se rend compte d’à quel point cette sensation lui a manqué. C’est tellement plus sexuel, tellement plus sale, une bonne odeur dégueulasse, le truc qui te ramène sur terre. Enfin, autant que ce soit possible avec tous les acides différents que t’as ingurgité. Ils n’ont rien dit à propos des marques. Celles qu’elle a sur tout le corps, le long des bras, autour du cou, sur les cuisses aussi, un peu. Ils ont cru que c’était des seringues, qu’elle prenait de l’héroïne. Mais c’est pas elle la drogué dans l’histoire. Ce songe, aidé d’une envolé de la basse, la propulse à des lieues du club, comme si elle flottait paisiblement au dessus de la foule. Son dos, cambré, se relâche par à-coups, à mesure que la basse repart crescendo ; ses mains s’élèvent, ses lèvres s’étirent dans un sourire imbécile, elle se sent bien, tellement bien. Elle se sent si bien loin de lui.


    La brise fraîche de ces quatre heures du matin lui mord la joue, et elle a l’impression qu’on vient de lui mettre une claque. Elle en rit mais sa voix se brise et personne ne le remarque. Ils font circuler une bouteille de whisky et un joint, dégueulasse. Ou alors, peut-être qu’elle a perdu l’habitude. Ça fait si longtemps qu’elle n’a pas quitté l’appartement. Des semaines. Avant même son anniversaire. Elle a envie de se rouler par terre, de hurler de joie, mais quelque chose la retient. Comme si ça n’était pas vrai. Que lui seul était réel. Il lui manquait, et elle en avait presque mal. Comme un lancement dans sa poitrine. Une autre rasade l’arracha au macadam du parking et elle s’allongea de tout son long sur le sol crasseux. Sa robe noire, trop courte, se retroussa sur ses bas déchirés, et elle cassa un talon de ses escarpins vernis. Le ciel était noir, terriblement noir. Les lumières de la ville en avait exterminé chaque étoile, une par une. Comme le ciel était sombre. Comme les yeux de sa mère.


    Elle avait claqué la porte. Quelques mois déjà. Pour aller tenter sa chance à Las Vegas, ce qui voulait dire qu’elle allait se déshabiller dans chaque bar qui croiserait sa route. Et elle l’avait laissée seule, avec lui. Son beau-père. Ses yeux porcins qui se posaient sur sa magnifique silhouette à chaque instant, débordant de cette lubricité dégoutante que seul un véritable pervers pouvait dégager. Elle était splendide, et depuis son enfance déjà tout le monde s’étonnait que telle famille de laiderons dégénérés eut put accueillir telle magnificence. Mais il été de ces miracles que l’on n’expliquait pas. Alors on les souillait, on leur faisait perdre de leur superbe par rancœur, par haine. Oui, il se sentait nargué par son joli minois. Alors, bien qu’elle n’était encore âgé que de quinze ans, il été passé à l’acte. Elle n’avait rien dit, s’était à peine débattu, avait fermé les yeux, n’avait pas versé une larme. Il l’avait achevée. Après quoi, quand bien même il eut recommencé nombre de fois, elle n’avait dit mot. La vie avait coulé sur son corps comme la plus transparente des eaux. Rien ne pouvait la blesser, puisqu’elle n’existait plus. Seuls ses besoins vitaux l’animaient. Elle se devait de manger. Et lorsque l’argent vint à manquer, elle s’en alla. Comme un road movie, en moins classe. Très vite, elle entendit parler d’un mec qui pouvait fournir pas mal d’argent en peu de temps. Elle n’hésita pas. Le deal semblait raisonnable. Il la prenait en photo, nue, et elle repartait avec de quoi vivre pour quelques semaines. Ça ne durait qu’une heure.


    L’objectif était plus sombre encore que ce ciel, qu’elle ne verrait que dans quelques années. Il se fichait éperdument de son âge, tout comme il se fichait de photographier une gamine complètement nue, en train de se faire prendre violemment par un inconnu. L’inconnu en question devait bien avoir cinquante ans passés, et elle non plus n’en avait que faire. Seule la froideur de la pièce l’indisposait. Puis, le dernier cliché fut pris, et ils en eurent finis. Elle se rhabilla avec rapidité, pris l’argent et claqua la porte. Son visage était glacé, divinement neutre, et elle semblait sous anesthésie. Pas une seule expression depuis des mois. Elle avait seize ans maintenant.

    Son pied, chaussé d’une ballerine orange, se posa au sol avec délicatesse, et elle croisa son regard bleu acier. Elle en resta pétrifiée, et ne se rendit même pas compte que son apparence débraillé témoignait de tout. Elle était à moitié déshabillée, le visage comme paralysé, la porte entrouverte sur un studio photo où traînaient un homme nul et un vieil obsédé. Sans doute comprit-il immédiatement. Elle baissa la tête, submergée par la honte, par le dégoût. Elle en aurait vomi, et sans qu’elle puisse les retenir, les larmes la gagnèrent. Elle s’enfuit.

    Il l’avait attendue. Elle était revenue, quelques semaines plus tard. La visage impassible, ses grands yeux verts agacés papillonnant, une simple robe de dentelle blanche passée sur son corps rachitique. Il l’avait attendue. Elle s’était approché de lui, avait tenté de gagner le palier, de presser la sonnette, mais sa main l’avait retenue. Il l’avait saisie et n’avait pas prononcé une seule phrase. Ses yeux avaient toisé les siens, et elle s’était sentie incroyablement triste. Ses bras étaient retombé, ballants, ses jambes avaient cédé et elle était tombée à genoux, le visage ruisselant de larmes, prise de soubresauts, un hoquet candide ébranlant sa carcasse. Il s’était alors accroupi, avait placé ses bras autour de ses épaules trop maigres, et elle avait appuyé son visage au creux de son cou. Les sanglots avaient fini par s’arrêter, et il l’avait ramenée chez lui. Un appartement gigantesque, et terriblement vide. Il l’avait allongée sur le lit, s’était laissé tomber à ses côtés et, lorsque ses canines s’étaient plantés dans sa chaire, elle n’en avait pas ressenti la moindre surprise, ni la moindre peur. Elle s’était abandonné à sa faim, et lui avait souri. Comment simple homme aurait-il put lui ré-insuffler la vie ?

    Les semaines avaient passé, son corps était meurtri,, autant par les morsures que par les coups, lorsqu’il avait honte, lorsqu’il avait peur. Honte d’aimer une humaine. Peur d’en faire un vampire. Alors à l’angoisse succédait la violence. Elle était une épave, semi-consciente la plupart du temps, accro au valium, accro à l’anesthésie, à cette sensation mollassonne qui la prenait lorsqu’elle commençait à tout oublier. Il la détruisait, la torturait mais la faisait vivre. Elle le maudissait, et pourtant, elle l’aimait. Elle l’aimait du plus pur des amours et de la plus hideuse des façons. Ils étaient tous deux rongés par une passion égoïste et stupide, mais tellement plus intense que toute chose. Il était devenu son sang, qui brûlait ses veines mais animait son corps. Il était devenu son souffle, qui enflammait ses poumons mais la maintenait debout. Il était devenu son monde.




Didn’t deserve my affection,
But he caught my attention,
Sucked me down to the bottom, where we both got burned.
I’m a broken arrow
.”
UFFIE - sex dreams and denim jeans

    La ville émergeait de son sommeil glacé, et ses rues gardaient encore les traces de l’orage de cette nuit. Trempées, elles semblaient vomir leur tristesse dans les caniveaux. Une lourde nuée grise, opaque, occultait le soleil. Elle approcha ses lèvres desséchées de la fenêtre, et souffla contre le verre. Une tâche de buée s’y forma et elle sourit de contentement, momentanément animée d’une émotion antique. Elle se rappelait son enfance, qui lui semblait aussi lointaine que celle d’Azazel. Ils n’étaient peut-être pas si différents après tout. Comme elle avait changé. Elle chassa ces pensées avec empressement, puisqu’elle n’arrivait résolument pas à les affronter. Se détournant de ses affaires d’un pas gracile, elle alla se rassoir sur le lit. Il était rare qu’elle soit de bonne humeur, et plus encore qu’elle soit en état de se mouvoir de la sorte. Depuis qu’elle l’avait rencontré, la plupart de ses journées se résumaient à une léthargie douloureuse, perdue dans un coin de l’appartement, à tenter de se remettre des événements. Mais il arrivait qu’elle se réveille légère et enjouée, l’esprit dénué de quelque souci que ce soit. Elle laissa glisser sa main le long des draps blancs, tordus, tirés aux quatre coins du lit, vestiges de leurs ébats passés. Des draps qui lui semblaient ternes lorsqu’ils n’épousaient pas sa silhouette dantesque. Il lui apparaissait telle une statue de marbre ancien, bâtie à l’effigie d’un dieu grec, symbole d’une mythologie disparue. Il en avait la dureté, la beauté et la froideur. Comme elle aimait sa froideur. La froideur de ses traits, de sa peau. Il était son roc. Sa raison de vivre, se disait-elle parfois. Elle tira les draps à elle, en huma le parfum. Il y restait son odeur, comme la terre après la pluie, une odeur salée, de mer peut-être, et quelque chose d’épique. De guerrier, de glorieux. D’héroïque. Elle aurait pu dessiner chaque parcelle de son corps du bout des doigts…

    Son torse se pressait contre elle, et elle embrassa le lobe de son oreille, remontant ses mains trop maigres le long de ses bras sèchement musclés, mais néanmoins puissants. Il la renversa, et une myriade de cheveux bruns se déversa sur l’oreiller immaculé. Sa langue parcourait ses seins, et elle entrouvrit les lèvres dans un soupir d’extase nonchalante, un bras ballant, pendant à côté du matelas. Glissant son autre main dans ses cheveux ébouriffés, elle lâcha un rire candide, un brin désespéré. Leurs amours fiévreux la déstabilisaient tellement. La fougue dont il faisait preuve lui semblait belle et malsaine à la fois, et lorsque dans ses bras elle éprouvait du réconfort, il était souvent accompagné d’une paradoxale envie de le briser, de tout briser. Elle se fit animale et le repoussa, pour embrasser son buste sans la moindre délicatesse. Elle léchait sa peau, toute de flammes, et en mordillait chaque aspérité, que ce soient les creux de ses muscles comme le rosé de ses tétons, elle était d’une voracité étrange. S’abandonnant au désir, elle remonta le long de son torse, de sa gorge et gagna sa bouche mutine, et lorsqu’elle scella leurs lèvres dans un baiser trop tendre, il lui sembla que leur amour n’avait plus le moindre sens.

    Elle battit des cils et chassa une larme mesquine, reportant son regard sur le plancher poussiéreux de la chambre. L’appartement était vaste mais vide, et souvent, lorsqu’elle y associait l’image de son propriétaire, elle se disait qu’il était spartiate. L’absence de décoration et de mobilier lui donnait froid. Elle passa une main tremblante dans sa chevelure brune, avant de soupirer doucement. Il ne la prévenait jamais lorsqu’il s’en allait, et parfois elle se demandait ce qu’il faisait. Est-ce qu’il lui arrivait de penser à elle ? Ou alors n’était-ce qu’une passion que l’on vivait de la plus charnelle des façons ? Elle était sûre, qu’au fond, leur amour lui faisait autant de mal qu’à elle. Elle ouvrit le tiroir et y fouilla avec délicatesse, pour en extirper deux cachets de valium, qu’elle goba à la hâte. La pluie avait recommencé à tomber et elle n’avait plus grande envie d’aller au dehors, de vivre. Elle se pelotonna dans les draps froissés, et alors que son odeur lui chatouillait les narines, elle eut l’impression de s’endormir à ses côtés.


Dernière édition par Angelina G. Hartley le Jeu 17 Juin - 22:40, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptyDim 13 Juin - 21:16

    omfg willa ! Eeek I love you

    bienvenue <3
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Angelina G. Hartley
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptyDim 13 Juin - 22:35

    Mon dieu, Jamie Eeek En plus je viens de regarder Marie-Antoinette, j'en peux plus quoi Yahhh Veux-tu m'épouser ? *-*
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptyDim 13 Juin - 23:05

    Owi marions-nous ici tout de suite ! Eeek I love you
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Angelina G. Hartley
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptySam 19 Juin - 13:07

    Je crois avoir fini ma fiche :)
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Elystaëh-Velvet Woodstorm
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptySam 19 Juin - 13:17

oh, une deuxième willa buu
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Angelina G. Hartley
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptySam 19 Juin - 13:18

    pardon buu
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptySam 19 Juin - 14:02

    I love you
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A. Emma Sainsbury-Brown
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptySam 19 Juin - 16:02

    MyGod, j'adore ta présentation *-*
    Il nous faudra un lien je pense bien Woohoo

    Bref, je te valide, évidemment ♥️ Bon jeu !
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Angelina G. Hartley
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. EmptySam 19 Juin - 16:12

    Merci *-* Et avec (grand) plaisir Woho Dance
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MessageSujet: Re: ange's bleeding fuckin' glitter; done. ange's bleeding fuckin' glitter; done. Empty

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