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bust a move.

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Katriel N. Bringles
Katriel N. Bringles
She follows the sun, humans are sun's sons, the sun is blessing us.


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MessageSujet: bust a move. bust a move. EmptyDim 20 Juin - 12:41

bust a move. 9gbs3l
you keep me hangin' on


il y a eu ces lumières puis quelques sons bruts comme des alarmes de voitures ou plutôt des klaxons quoi qu'il en soit, ça se secouait dans tout les sens. Impossible de comprendre la situation, impossible de bouger. Paralysée par la peur et par une certaine angoisse j'ai dû faire un quart de tour pour ensuite m'écarter de la route si dangereuse. J'ai regardé une dernière fois en face de moi pour y voir un silhouette debout, immobile, prête à bondir. Et la seconde d'après je n'ai plus rien plus, juste à travers la paupières des lumières rouges et blanches qui s'agitaient au dessus de ma tête. Lorsque j'ai réouvert les yeux, j'étais dans cette pièce, d'un blanc délavé avec une seule fenêtre en guise d'ouverture. J'ai voulu me pencher pour prendre mes affaires mais une femme en blanc est arrivée dans la chambre et a regardé le truc d'eau qui s'écoulait dans une de mes veines de bras avant de repartir sans un mot. Cette couleur, ce blanc m'abîmait les yeux mais réactivait gentiment mon cerveau et la douleur dans mon bras gauche. Trop affaiblie pour me bouger un peu j'ai tendu la main droite vers le bas dans l'espoir de trouver quelques une de mes affaires mais rien n'apparaissait dans la chambre à part cette vilaine lampe de bureau et le dossier qui pendouillait au bout de mon lit. Mais cette blancheur vieilli me rappeler l'asile, située loin de la ville dans l'espoir que personne ne s'évade. Alors j'ai sonné, sonné pour qu'on m'enlève cette certitude que j'avais été placée dans un hôpital psychiatrique sans que je puisse m'en apercevoir. La même femme, Irène comme marqué sur son badge, est rentrée dans la chambre, la mine blasée on pouvait presque l'entendre soupirer intérieurement. vous avez besoin de quelque chose ? vous souffrez ? à l'entendre j'aurais presque parié qu'elle prenait plaisir à voir souffrir les gens qu'elle croisait et qu'elle ne travaillait que par argent comme le plupart de ces connards de médecin qui vous opèrent sans une explication. Laissant retomber ses bras, lassée, elle n'attendant que ma réponse pour partir. bon heu déjà vous êtes censée me dire pourquoi je suis là, et surtout où je suis ! C'est la moindre des choses de m'avertir un minimum ! On aurait que la tête de la blonde prenait un air choqué et immature, prête à tourner les talons vers la sortie. Au lieu de ça, elle s'est avancée vers moi, prenant son air sévère et stricte, bidouillant la perfusion. un peu de respect, vous êtes dans un hôpital et je ne connais pas votre vie donc je ne sais pas ce que vous fait ici ! Puis elle est repartie encore plus furax qu'elle n'était arrivée avant de crier après une de ses collègues dans le couloir. Je me suis sentis plus que seule pendant ce moment-là à croire que sans les bouquins je n'étais strictement rien.

je ne sais pas combien d'heures se sont écoulées depuis que je suis ici, depuis que je me suis réveillée. Mais je suis heureuse, heureuse d'être là, sûrement les effets shootant des anti-douleurs. Puis alors que je me suis apprêtée à descendre du lit, quelqu'un a frappé à la porte. Ce bruit désagréable à résonner dans ma tête comme un tambour. Quand je l'ai entendu s'ouvrir et les pas rentraient, j'ai prié, mais réellement pour que ce ne soit pas l'autre blondasse qui vienne encore me gêner. Le regard apaisé et soulagé il s'est avancé dans la chambre. c'est bien moi. N'ais pas peur j'vais pas te bouffer hein ! C'est comme si je n'avais pas eu ce rire sadique depuis cent ans. Mes bras endoloris m'aidèrent à me redresser dans le lit tandis que le jeune homme s'activait à autre chose, beaucoup trop rapide pour que mon cerveau comprenne ses gestes. Inspectant pour la première fois l'égratignure jaunie par un produit, je crois avoir eu une mine de dégoût et de désespoir. Sans parler j'ai fait le tour de la pièce avec les yeux pour y voir mon jean à moitié déchiré mais un tee-shirt en bon état. Rien ne m'est revenu à l'esprit, même pas un flash comme dans ses films policier où il essaye de trouver le tueur. Je me rappelle juste de cette silhouette tranquille, qui a simplement disparu lorsque j'ai fermé les yeux. jackjack dis, les médecins savent ce qu'il s'est passé ? Comment j'ai eu cette égratignure ?
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Jack E. Chatterton
Jack E. Chatterton
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MessageSujet: Re: bust a move. bust a move. EmptyLun 21 Juin - 10:07

« ‘Cuz we belong together now »
    Jack gara sa voiture en dérapant, le frein poussé au maximum. Il avait reçu un appel, onze minutes plus tôt exactement, et c’est le temps qu’il lui avait fallut pour faire la route de puis le journal jusqu’à l’hôpital de la Nouvelle-Orléans. Il avait été contacté par les infirmières, depuis le portable de Katriel, car il était le dernier numéro composé. On lui avait seulement dit qu’elle avait eu un accident que déjà il démarrait sa voiture. Il aurait être en mesure de faire ça, le jour de l’attaque cardiaque de son père, mais il s’était trouvé sur un autre continent. Le temps qu’il arrive, son père était déjà mort et prêt à être enterré. Il refusait que cela arrive avec Kat.

    Il fit irruption dans l’endroit immaculé, poussa quelques inconnus et arriva à l’accueil. Il inspira un coup, histoire d’être capable de poser sa question. « La… La chambre de Katriel Bringles, s’il vous plait ? » L’infirmière eu une moue antipathique, elle semblait d’humeur massacrante. Kat avait-elle déployé ses talents de philanthrope avec elle ? Cela ne l’aurait pas étonné, il se rassura en pensant que cela signifiait qu’elle devait être consciente. « Vous êtes de la famille ? » Il écarquilla de grands yeux ronds. On le contactait, histoire de bien l’inquiéter, pour ensuite lui refuser de la voir, sous prétexte qu’il n’était pas de la famille. Il n’y réfléchit pas à deux fois. « Oui. Je.. Je suis son petit-copain. » lâcha-t-il, en faisant appel à tout son jeu d’acteur. Il ne prenait pas trop de risques, sachant qu’aux dernières nouvelles, Katriel était une célibataire endurcie. Elle fronça les sourcils, tapa rapidement quelque chose sur son ordinateur, le regarda de nouveau, et cracha le numéro de chambre. « Merci, Irène, c’est très aimable à vous. » répondit Jack, avec un grand sourire ironique, après avoir jeté un coup d’œil à son badge.

    Il parcourut les couloirs d’un pas rapide. Putain, que c’était mal indiqué ! Il avait en horreur les hôpitaux et tout ce qui touchait au domaine médical ou à la mort, encore plus depuis le décès de son père. Il finit par trouver la chambre et fit irruption à l’intérieur sans hésiter, donnant deux petits coups pour s’annoncer. Il fut rassuré de la voir éveillée ; cela signifiait qu’elle s’en remettrait. Voyant qu’elle s’apprêtait à le renvoyer bouler avec acidité, il prit les devants. « C’est bien moi, n’ai pas peur, je vais pas te bouffer hein ! »

    Les vêtements de la jeune femme avaient été déposés dans un coin de la pièce, plutôt amochés. Elle, allongée dans cet affreux lit d’hôpital, semblait dans un piteux état. Elle était pâle, encore plus que d’habitude s’entend, des bleus abîmaient ses bras, ainsi que de vilaines égratignures, plus ou moins sévères.

    « Jackjack dis, les médecins savent ce qu'il s'est passé ? Comment j'ai eu cette égratignure ? »

    Jacky fit une grimace. « Non, on m’a juste dit que tu t’étais faite renversée. D’ailleurs, c’est vraiment pas malin ! T’as une idée d’à quel point je me suis inquiété ? Tu pourrais être morte à l’heure qu’il est ! On ne t’a jamais appris à traversé la route ? »

    Il était énervé, mais ce n’était que pour évacuer son inquiétude, il était immensément soulagé de la retrouvé en un seul morceau. Il poussa un soupir, la pauvre ne méritait pas un tel traitement après s’être fait percuter par une voiture.

    « Tu sais s’ils ont prévenu ta sœur ? » demanda Jack.

    Elle semblait vouloir se relever, et en éprouver quelques difficultés.

    « Tu devrais rester immobile, le temps que tes membres récupèrent, Kat. » Il lui sourit, déposa un baiser sur son front, et s’installa sur la chaise disposée près du lit. « Comment tu te sens ? »

    Il attrapa sa main, qu’il serra. C’est vrai que, vu comme ça, ils ressemblaient un peu à un couple. Mais ce n’était rien de tel, juste un amitié intime, hein ?...
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Katriel N. Bringles
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MessageSujet: Re: bust a move. bust a move. EmptyLun 21 Juin - 19:49

you keep me hangin' on
appuyant fort mon dos engourdi contre l'oreiller de plume sentant le renfermé, je l'ai fixé pendant un long, très long moment dans les yeux avant d'envoyer mes jambes dans le vide. L'époque de l'hôpital remonte à trop loin pour moi. J'ai toujours pensé que plus je restais loin de cet établissement, mieux je me porterais. Mais à croire que c'était faux. Non, on m’a juste dit que tu t’étais faite renversée. D’ailleurs, c’est vraiment pas malin ! T’as une idée d’à quel point je me suis inquiété ? Tu pourrais être morte à l’heure qu’il est ! On ne t’a jamais appris à traversé la route ? Pendant quelques minutes je n'ai vraiment pas pu m'empêcher de rire à cette inquiète, ce malaise que j'avais provoqué à moi seule. Rien que de savoir que quelqu'un tenait à moi au point de m'engueuler parce-que j'avais subi un accident me réconforter beaucoup plus que je ne l'aurais pensé moi-même. t'es vraiment trop drôle quand t'es en rogne ! Toujours avec cet esprit du rire dans ma tête, je lui ai présenté le fauteuil à la droite de mon lit avant d'attraper mon téléphone. Appels manqués. Il ne fallait surtout pas se demander qui ça pouvait être. J'étais pas rentrée à la maison et elle n'avait pas croisé Jack donc forcément voilà la raison des trente coups de fils de Rainbow. C'est ça d'avoir une sœur qu'on aime et une sœur. Je vous ais déjà dit que c'est cool d'avoir une sœur. Et aussi quelqu'un comme Jack, ça sert toujours. Tapotant ses cuisses en rythme, j'ai une fois de plus regardé les sms, les messages qui ont été laissés sur mon portable entre autre ma sœur, mes aussi d'autres amis malgré le peu de répertoire que j'ai, et mon adresse d'adresse plutôt réduits, les longues listes d'amis et de popularité c'est vraiment pas pour moi. Je préfère encore avoir pour ami un singe que la miss beauté de l'université privée.

j'ai senti sa douce chaleur contre mon front. J'aurai été plus faible je me serais écroulé sous cette attention mais mademoiselle Bringles est loin d'être comme ça. Comment tu te sens ?, enfaite à part cette phrase, j'ai raté la moitié de ses mots. Je n'ai entendu que des bourdonnements. Mon cerveau semblait comprendre la moitié des choses. J'ai secoué un minimum la tête, bidouillant ma perfusion avant d'entreprendre une longue explication de quoi barber n'importe qui. tu sais quoi je suis très bien, je pète la forme ! Je me suis juste fait renversé par une voiture, j'ai le bras complètement inutile mais je veux bien que tu m'achètes une moto en signe de rétablissement. seulement ce n'était pas marrant avec le jeune homme. Il me connaissait presque à la perfection. A un point qu'il ne répondait presque plus à mes critiques ou autre ironie dans le genre. Mais on s'y fait à cette douceur et toujours ce calme presque indécent. Surtout quand on passe presque toute une journée avec la même famille.

voyant la nuit arrive lentement, j'ai soupiré laissant retomber ma tête comme une désespérée. J'en ai profité pour me hisser hors du lit, m'appuyant sur le rebord du lit et sur la perche de perfusion. heu ça te gênerais pas de te bouger, de me débrancher le truc et de me donner mes vêtements ? je veux pas rester une seconde de plus ici ! Bougeant mes pieds petit à petit aussi engourdis que mon dos, m'orientant vers la minuscule salle de bain complètement désinfecté. Durant un instant j'ai cru entendre des pas d'infirmière dans le couloir. J'avais surtout pas envie de voir l'autre débarquer dans la chambre et me dire que je devais rester dans cette pièce encore une semaine. dépêches-toi la blondasse va arriver !
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Jack E. Chatterton
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MessageSujet: Re: bust a move. bust a move. EmptySam 26 Juin - 10:22

    La jeune femme éclata de rire à la remarque de Jack. Cela le fit froncer les sourcils, et il prit un air sévère.

    « T’es vraiment trop drôle quand t'es en rogne ! » lança Kat, visiblement amusée de son expression.

    Elle lui montra le siège d’apparence très inconfortable qui se tenait près de son lit. Il s’y serait assis, même sans cela, près d’avance à passer la nuit là. Elle ne répondit pas à la moitié des questions que le jeune journaliste lui posa, occupée à trafiquotter sur son téléphone portable, qu’elle attrapa sur sa table de nuit.
    Elle ne réagit qu’à sa requête concernant son état.

    « Tu sais quoi je suis très bien, je pète la forme ! Je me suis juste fait renverser par une voiture, j'ai le bras complètement inutile mais je veux bien que tu m'achètes une moto en signe de rétablissement. » fit-elle, en bonne reine de l’ironie qu’elle était.

    Jacky lui lança un regard faussement noir, avant de lever les yeux au ciel. Elle n’avait pas perdu son sens de la répartie acide, c’était bon signe, elle ne devait pas être si mal en point que ça.

    « Tu es vraiment une peste, quand tu t’y mets, Bringles. » répondit-il, sans se formaliser de la vanne qu’elle venait de lui envoyer. On s’habituait vite au caractère de feu qu’avait Kat, pour découvrir une personne adorable et fiable. « Quant à la moto, tu serais forcée de me la rembourser en nature. Je n’offre rien gratuitement. » ajouta-t-il, taquin, en riant.

    Elle soupira après avoir jeté un coup d’œil par la fenêtre. Elle affichait l’air d’une torturée qui inquiéta Jack. Peut-être souffrait-elle encore ? Cette hypothèse fut démentie lorsqu’elle s’aida du rebord du lit ainsi que de sa perfusion pour glisser hors du lit. Elle semblait si fragile qu’il se leva rapidement, près à la rattraper si elle venait à s’écrouler.

    « Heu ça te gênerais pas de te bouger, de me débrancher le truc et de me donner mes vêtements ? Je veux pas rester une seconde de plus ici ! Dépêches-toi la blondasse va arriver ! »

    Il la regarda avec scepticisme. Etait-elle sérieuse ? Envisageait-elle vraiment que Jack l’aide à quitter l’hôpital comme une voleuse, alors qu’elle venait d’avoir un accident ? Il plaça ses poings sur ses hanches, et un fin sourire ironique se dessina sur ses lèvres.

    « Oh non, mademoiselle, je ne crois pas. On ne va nulle part ce soir. J’ai dû ruser et dire à ladite blondasse que j’étais ton petit copain pour obtenir ton numéro de chambre, alors en tant que tel, je me dois de prendre soin de toi, ma chérie. » fit-il d’un ton mielleux. « Allez hop, au lit ! Je n’ai aucune envie que Rainbow me tombe dessus pour t’avoir laissé filer. Alors ce soir, c’est pas chez moi qu’on dort, c’est ici. Je suis sûr qu’on va s’amuser comme des petits fous ! » ajouta Jack, avec un air enjoué 100% ironique.

    Si elle refusait de coopérer, ce dont il ne douta pas une seconde, il n’aurait qu’à la coucher de force. Rien qu’à la voir, on devenait qu’elle ne devait pratiquement rien peser pour quelqu’un de baraquer comme l’aîné des Chatterton.
    Il retira ses chaussures et son gilet qu’il posa sur la chaise qu’il venait de quitter, puis il grimpa sur le large lit d’hôpital, laissant une place à Katriel près de lui, qu’il tapota pour la faire venir, son sourire amusé flottant toujours sur ses lèvres. Il attrapa la télécommande de la télévision, accrochée dans un coin de la chambre, et l’alluma, pour tomber sur le journal local. Encore des disparitions. Il n’y prêta qu’une infime attention, trop préoccupé par la jeune femme et son état, mais il lui semblait que de plus en plus de meurtres étranges avaient lieu. Il lui faudrait interroger quelqu’un du FBI pour faire un article sur tout cela, son boss le tannait depuis des semaines pour qu’il s’y colle. Si ses souvenirs étaient bons, la grande sœur de Kat’ travaillait pour eux ; il lui en parlerait lorsqu’elle serait totalement remise. Ce n’était pas vraiment urgent à ses yeux.
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Katriel N. Bringles
Katriel N. Bringles
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MessageSujet: Re: bust a move. bust a move. EmptyDim 27 Juin - 0:23

je captais les mots qui m'intéressaient comme quand on capte une mouche que si elle fait du bruit, ne le fixant que par moment pour le déstabiliser. Je ne sais pas combien de temps dans ma vie je l'ai regardé comme ça, rien que pour voir sa tête et m'en amuser. J'ai l'étrange impression de ne jamais l'avoir connu, de croire que c'est comme un premier rencard qui n'en ai pas un. J'ai cette impression de ne jamais être entrée dans un hôpital ou d'en être sortie ou de m'être fait crier dessus par le jeune homme alors qu'il passe sa vie à ça. Je ne sais pas combien de temps aussi j'ai refermé les yeux en me tenant mon front avant de me rasseoir rapidement sur le lit de malade. (...) de me la rembourser en nature. Je (...) Oui je capte que de ce qui m'intéresse réellement, accentuant mon esprit dérangé par-ci par-là. Me tournant vers lui, je lui sortis un large sourire pour lui faire comprendre qu'il n'y avait vraiment aucun problème de ce côté-là. Avec beaucoup de maturité, je me suis approchée de lui pour lui passer la main dans ses cheveux avec de sortir un rire sadique et de retourner à mes occupations comme enfourner les antalgiques dans ce qu'il restait de mon sac. Mais je me retourna rapidement ne voyant aucun mouvement d'encouragement de la part du jeune homme. Fronçant très rapide les sourcils avec un regard très noir, j'ai fait le tour du lit avant de me mettre face à lui, prête à lui tenir tête. j’étais ton petit copain pour (...) Je n’ai aucune envie que Rainbow me tombe dessus pour t’avoir laissé filer. Alors ce soir, c’est pas chez moi qu’on dort, c’est ici. Je suis sûr qu’on va s’amuser comme des petits fous ! Heu c'est plutôt lui qu'il fallait interné pour mauvais conduite ou manipulation mentale ou la cause d'une hystérie. Levant les yeux au ciel mais conservant toujours cette pointe d'obscure dans les yeux je me suis remise du côté gauche du lit pendant que Jack s'affairait comme un malade dessus juste avant que l'infirmière arrive et trifouille la dose d'anti-douleur et dévisage dangereusement le jeune homme de sur le lit. Non ce n'était certainement pas la même infirmière et heureusement.

Dès qu'elle fut partie, je me suis légèrement assise sur le bord du lit avant d'arracher brusquement la perfusions et le bracelet plastifié à mon nom ainsi que quelques patchs pour mesurer le pouls de mon cœur. Les yeux pétillants et l'organe vital s'emballant, je courus chercher mes affaires aussi vite que je le pu en titubant quelques peu sous l'effet de l'anesthésie. tu croyais quand même pas que j'allais rester sagement ici alors que j'en ai rien à foutre de l'hôpital ?! et ne réponds pas s'il te plaît sinon tu n'as qu'à mentir, j'vais me changer ... toujours avec ce coin de sourire sadique et perturbateur, tandis que le cellulaire vibrait près de la tête de Jack d'où nos regards ne se quittaient pas à qui aurait le dernier mot.
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